GRANDS FORMATS
Le Collectionneur Moderne s’engage aux côté de ses artistes dans la réalisation de projets ambitieux : nous prônons une politique d’excellence dans le choix des matériaux comme dans la qualité des services de livraison et d’installation.
Nous nous tenons naturellement à votre disposition pour vous conseiller et vous proposer un service personnalisé qui réponde parfaitement à vos attentes.
Les huiles sur toile et les lavis d’encre de Javier Riaño sont un univers de silence.
D’une grande perfection formelle, ses œuvres mettent en scène des paysages urbains au réalisme illusoire. L’essentiel de son travail consiste à idéaliser le motif et en synthétiser la composition pour en révéler la part de mystère.
Patrick Rimond est un observateur. Il se laisse inspirer par des motifs insoupçonnés et les soumet à des expérimentations plastiques. Sa fascination pour les rythmes et les formes pures l’amènent à la lisière de l’abstraction. Ses paysages urbains, tirés en grand format dans des tonalités électriques, subliment la dynamique de la ville et nous plongent dans ses entrailles.

Julien Gudéa : Allumette Spaciale, 2016
Sculpture en résine polyester et laque industrie, H. 295 cm
Œuvre vendue
Julien Gudéa décline avec lyrisme un répertoire d’objets entamés. Allumettes calcinées, pommes croquées, bougies fondues, cigarettes consumées… Ce sculpteur nîmois a adopté la résine polyester comme matériau exclusif pour ses expérimentations colorées, qui explorent les liens entre l’intérieur et l’extérieur des volumes
Jean-Marc Planchon modèle ses sujets dans l’obscurité. Ses photographies, cueillies avant le lever du jour, ne laissent poindre que les formes substantielles du paysage. Initié également dès le plus jeune âge à la calligraphie japonaise, il découpe les contours de fenêtres par un effet de réserve et de transparence, dans la noirceur de l’encre de Chine.
En sérigraphiant des graffitis sur des fonds dorés ou en intervenant sur des photographies d’inconnus, Anna Zuber s’approprie les mémoires anonymes : elle les réactive et les attire dans les registres du luxe et du sacré. Elle propose toujours une confrontation paradoxale qui nous amène à reconsidérer la valeur du métal précieux, comme celle des témoignages anonymes.
Jean-Christophe Robert est un peintre plasticien qui instaure un dialogue entre les genres picturaux et l’environnement visuel de l’époque contemporaine. Façonnées et assemblées à la main, ses toiles interrogent la place et le rôle de l’objet – et notamment de l’art – à l’ère de la consommation de masse
William Gaye explore les frontières de la ville. Dans les deux projets que nous exposons, il met en lumière l’expansion urbaine à travers des photographies et des cycles de collages. Que ce soit à Marne-la-Vallée ou dans la banlieue de Yaoundé, sa démarche questionne les mécanismes du territoire, à travers des protocoles aussi rigoureux qu’éloquents.
Sous la forme traditionnelle de vanités, Ludovic Alussi décline ses « embouteillages » : une série de photographies mettant en scène des bouteilles en plastique. Des métaphores sur notre rapport à la nature et à ses ressources, qui font appel aux codes visuels de la publicité
Aranthell conçoit ses œuvres comme un laboratoire de l’ordinaire. Cette jeune peintre emploie son talent au profit des sujets les plus insignifiants et donc des plus audacieux : viandes sous blister, éviers, réfrigérateurs, fonds de boîtes de conserve… Une invitation à prêter attention aux choses, au delà de leur apparente banalité